Avec l’épidémie du Covid-19, nos habitudes ont changé. Parmi elles, le port obligatoire du masque. Les masques chirurgicaux sont essentiellement constitués de plastique, ce qui pose problème: Actuellement, les ONG estiment que 1,5 milliards des ces masques ont été rejetés dans les océans durant l’année 2020. Face à cette situation, nous nous sommes interrogées sur
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AGIR DANS LE PRÉSENT POUR SAUVER NOTRE FUTUR
Les microsplastiques plastiques sont un fléau permanent pour le milieu aquatique. En effet, les microsplastiques sont présents aussi bien dans l’aquaculture que dans l’écosystème aquatique et lorsqu’un être vivant ingère des microsplastiques ceux-ci restent dans son organisme pour le restant de sa vie. Mais les microsplastiques plastiques n’apparaissent pas d’un claquement de doigts, ils résultent
Le pin d’Alep, vers une revalorisation d’un symbole provençal
Le pin d’Alep est un arbre emblématique du sud de la France. On le voit partout mais il a mauvaise réputation. Peu intéressant économiquement car surtout transformé en pâte à papier, il est donc peu entretenu et se propage sur le territoire. Problème : ses aiguilles sont hautement inflammables et favorisent les incendies estivaux dévastateurs.
L’océan… Est-il toujours le monde du silence?
La pollution sonore ayant fortement augmenté depuis ces dernières 50 années du aux activités en mer comme le trafic maritime, ou les travaux en mer. Les mammifères sont fortement impactés, car ils se servent du bruit pour éviter le danger, trouver des proies, communiquer etc… Les bruits les plus puissants peuvent leur causer la mort.
Un monde masqué
Le port du masque jetable s’est mondialisé depuis la pandémie de la Covid 19. Des milliards d’individus vivent désormais masqués, des milliards et des tonnes de masques sont désormais jetés. Mais quel est l’impact sur l’environnement de ce nouveau déchet? Les élèves de l’Atelier médias du collège Albert Sidoisne sont allés à la rencontre des
Quand les grandes villes se mettent au vert
Au printemps 2020, une vague verte a déferlé sur les grandes villes françaises. Après les promesses de campagne, les municipalités mettent en place leurs projets de végétalisation pour répondre aux enjeux climatiques et à la demande des citoyens. Mais planter vite n’est pas toujours synonyme de planter bien.
La pollution numérique
La pollution numérique est la cause de 4% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Cette pollution ne cesse de croître de par de multiples usages liés au numérique. Mais des solutions existent et se mettent en place, tant par des entreprises que par des particuliers. Chacun peut agir pour limiter
Les viticulteurs entrent en résistance
Si l’on en croit le scénario le plus pessimiste, selon une simulation réalisée par Sun’Agri, avec un réchauffement de +2°C d’ici 2050, la surface des terres viticoles européennes exploitables aura diminué de 68%. De quoi voir une carte des vignobles chamboulée. Dans le sud-est de la France, certains viticulteurs font déjà face à des conditions
Comment consommer de manière plus responsable?
Notre société entière est basée sur la consommation, et nous consommons toujours plus, guidés par la publicité et les incitations diverses. Mais en faisant cela, nous mettons en péril notre planète qui ne peut supporter les produits, surexploitation des ressources… Il faut changer nos habitudes et trouver des solutions pour consommer de manière plus responsable,
Reporter pour la Biodiversité – « Protection de la Garonne »
La Biodiversité est présente sur la terre et englobe l’ensemble des êtres-vivants et leurs interdépendances, leurs écosystèmes.Toutes les espèces comptent et sont égales et la disparition d’une espèce entraine la chute de toutes les autres. Aujourd’hui la biodiversité de la planète est menacée et notamment la biodiversité de la Garonne, toute proche de chez nous.